• Le soleil

    se perche

    au bout

    d’une digue

    Il enfonce

    dans les eaux

    ses épines

    lumineuses

    Et la mer couche

    ses mélodies

    sur un chant

    de sel

    aux accents

    iodés

     


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  • Ma joie en courant d'air
    Me déplace en fleuve
    D'enfer
    Je cours avec les loups
    L'air siffle sur les silences de ta respiration
    Contre toi je m'étire en étouffant le monde
    L'avenir n'est plus qu'un lointain souvenir
    Légué à ma naissance par ma mère
    Et toi nu
    Tu m attends
    Sur ta couche coqueluche
    Je me joue contre toi du monde
    Rien ne nous retient d'être


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  • Au fil des pas

    Regarder, sentir

    Mon souvenir... jardin

     


    Le silence recouvert de douceur

    L'escale du temps

    Au souffle de

    L'air pur, immaculé blanc

    Laissant trace éphémère,

    Je partirai sereine

     


    Zen... une vie

    Fleur d'un merci

    Simplicité du cœur


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  •  

      

    t'entendre encore et toujours 

    pour te voir, tu es si belle

    si je te rencontre un jour

    toi ou une belle demoiselle

     

      tu es parfaite pour le public

    que je voudrais te garder

    pour plaire tu as le chic

    combien voudraient t'imiter

     

    combien sont parties pour d'autres bras

    pour des promesses pas tenues

    la liberté pour certains leurs tracas

    tu peux dire que tu nous remues

    moi qui cherche l'âme sœur

    il y en a tant qui le voudraient

     

    tu es parfaite pour le public

    que je voudrais te garder

    pour plaire tu as le chic

    combien voudraient t'imiter

     

    je t'écouterai jusqu'au dernier soupir

    admirer ta voix et ta merveilleuse plastique

    tu sembles pour nous un menhir

    qui ne voudrait susciter de pauvres répliques

     

    tu es parfaite pour le public

    que je voudrais te garder

    pour plaire tu as le chic

    combien voudraient t'imiter

     

    tu ressuscites le monde des soupirs

    avec ta pêche d'enfer on y gagnait

    pour jouer sur ta lyre, tirelire

    faute du langage de GOETHE, te chanter

    devient une seconde nature, c'est vrai

    comme d 'autres voudraient te rencontrer

     

    tu es parfaite pour le public

    que je voudrais te garder

    pour plaire tu as le chic

    combien voudraient t'imiter

     

    tu m'inspires belle amie

    ceux qui te nuisaient sont dans l'ombre

    tu as ressuscité mon réseau d'envies

    que j'écoute jusque dans la pénombre

     

    tu es parfaite pour le public

    que je voudrais te garder

    pour plaire tu as le chic

    combien voudraient t'imiter

     

    quand il est tard, je m'endors

    au pays de MORPHÉE jusqu'au matin

    déranger les voisins seraient mon tort

    et me faire le coup du lapin

    continue belle amie de m'inspirer

    et moi d'avancer tout seul

     

    tu es parfaite pour le public

    que je voudrais te garder

    pour plaire tu as le chic

    combien voudraient t'imiter

                                                                                                                 Texte protégé par  la SACEM

     


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  •  

    Elle me dit de partir

    Rien ne pouvait autant me ravir.

     

    Sa tête était couverte

    D’une capuche verte.

     

    Dans la pluie blanche et claire

    Un rire s'échappa dans l'air.

     

    Je m'enfonçai dans la ruelle

    Je ne me retournai pas vers elle.

     

    Sa cape me rappelait

    Des moments forts.


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