• Au loin

     

    Un dauphin dans la voûte céleste saute plus haut

    Que notre désir

     

    Un calme étendu se rapproche

    À vive allure

    Pour nous engloutir

     

    Nous n’en finirons jamais

    De fuir l’ennui

     

    Le rien n’arrive

    L’immobile prêt à bondir

    Sur nous pour nous étouffer

     

    Simple passagère

    Créant désordre

    En trop

    Notre transpiration Odorante

      S'enfuit

     

    Nul ne sait où aller

    Ma sœur ne me parle plus

     

    Nos pas s’égarent sur la grève

         Un crabe cahin-caha

         Avance en solitaire

         Sans langage

     


  • Commentaires

    1
    Mayavril
    Vendredi 9 Juillet 2021 à 17:49
    Très heurté ce poème
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