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Christiane Genet a publié en auto-édition :
en 2014 :
- Vibrato, juillet 2014, 95 pages.
- Chante-grenouille dans la maison de l’amour, décembre 2014, 81 pages.
en 2015 :
- Confluence, la pointe de l'ombre obscure, juillet 2015, 70 pages
- Éros détricoté, illustré par l'auteure, septembre, 2015, 122 pages.
en 2016 :
- Ode à l'ensorceleur de l'arbre, hommage à Guy Lafond, illustré par l'auteure, février 2016, 23 pages
- Sabots de chamois, illustré par l'auteure, avril 2016, 46 pages.
- Destination circon-stance, carnets d'itinérances poétiques, juillet 2016, 93 pages.
en 2018 :
-Élastique et corde à sauter, 2018, 124 pages.
-Issue de secours, juillet 2020, 230 pages.
Publiée par un éditeur :
- Éros défroqué, illustré par l'auteure, Édilivre, février 2016, 96 pages.
- Femme à écrire, Maison d'édition Le Comptoir des Lettres, novembre 2016, 128 pages.
Pour toute commande s'adresser à :
genet.christiane.72@gmail.com
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Dans un chacun son tour l’homme naît puis il meurt
Les générations constamment se succèdent
Dans des pas de tango la vie est belle et laide
Le temps cet assassin sait être aussi charmeur…
Demain se révèle être un habile semeur
Il présente ceci comme étant un remède
Affirme que cela serait bien plus qu’une aide
Pour l’un c’est un prophète et pour l’autre un frimeur…
Chacun va convaincu qu’il détient la formule
L’antidote la clé qu’aujourd’hui dissimule
La parole est facile elle a le verbe fort…
Mais plus que bien souvent fleurit une chimère
Alors tout recommence et l’avenir s’espère
Dans un nouveau dessein qui plante le décor…
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De mes souvenirs
J’ai fait des chapelets,
Des guirlandes,
Des odes à la vie,
Le soleil de mes nuits,
Des heures les plus sombres
J’ai préféré enluminer les ombres,
Des ronces et des orties
Soigné les égratignures, les blessures,
Exécré les affres de l’absence,
Combattu mes doutes,
Exorcisé mes peurs,
Et moi, pauvre ère,
Devant l’immensité offerte
Ai mis genou à terre,
Du silence infini
Perçu la mélodie.
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Ce lit solitaireAttend l'allongement
De mon corps
Son abandon
À la douceur des draps
Jouer avec mes images
Entre chacune
Une goutte de sueur
Il faut du courage
Pour laisser tomber
Mon corps
Sur cet objet à quatre pieds
Tout perdre en dormant
La passion de la vie
Ses attrayantes méchancetés
Son désir sans besoin
Le cordon d'amour
Qui me suit
Me commande
D'exister pour moi
Orteils en pause
Aux bouts des pieds
Ils attendent la consigne
Ils se regardent
En frémissant
Le repos les aime
Tomber sur mon oreiller
Tout effacer
Repartir à zéro
Ni vu ni connu
Je préfère l'oreiller
Mon confident
De malheur
Que de porter
Plainte
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Il a la tête sur les épaulesIl est parfois drôle
Avec lui j'ai du bol
Une intelligence rare
Des choses il sait faire la part
L'esprit vif
Avec lui j'ai du pif
Les idées claires
Pour moi c'est comme un père
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